« Après avoir traversé le temps de l’insouciance, j’ai commencé le BOULEAU ; Et oui, il faut bien gagner son PIN ; Mais au bout de quelques temps, j’ai ressenti comme un MÉLÈZE ; Je me sentais un PEUPLIER et souvent bien SAUL ; Alors j’ai sauté à l’eau ; J’ai vu du pays mais j’ai bien failli me NOYER ; Heureusement, un bel arbre m’a re-PÊCHER ; Sorti de l’eau, je me sentais revivre ! ; J’avais découvert le BOIS et succombé à son CHARME ; Je voulais l’adopter, tout de suite ; FRÊNE ton ambition, m’a dit un sage, n’oublies pas que « les POMMIERS seront les derniers » ; Riche de son conseil, j’ai attendu patiemment ; ÉPICÉA-rivé : Un maître de la forêt m’a pris sous son aile pour m’apprendre le secret des ARBRES ; J’ai écouté sans faire trop de BUIS, ne dit-on pas que le silence est d’ORME ? ; Petit à petit, j’ai SUMAC-limater ; Une fois libéré de mes CHÊNES, j’ai pu commencer à créer ; On dit qu’il est trop dur de ne pas être, alors je vais tenter d’HÊTRE. »